Cette fondation privée, indépendante sur les plans politique et confessionnel a été créée en 1902 et poursuit un but reconnu d’utilité publique : prévenir les problèmes liés à l’alcool et aux autres drogues et les atténuer là où ils existent. Addiction Suisse a ses bureaux à Lausanne où travaillent 45 collaborateurs.
L’association OPPELIA a pour objet d’apporter une aide aux personnes, adolescents et adultes et leur entourage, qui rencontrent des difficultés psychologiques, sociales et sanitaires, en particulier celles liées à l’usage de drogues et aux addictions. Nombreux documents en pdf à télécharger.
Les missions du DPB sont de rechercher, comprendre et enseigner les actions thérapeutiques et les effets indésirables des médicaments sur l'homme. Il forme également les futurs professionnels de la santé et de la recherche pharmaceutique.
La Fédération addiction a pour but de constituer un réseau au service des professionnels accompagnant les usagers dans une approche médico psycho sociale et transdisciplinaire des addictions. Pour former un réseau national représentatif de l’addictologie, l’association fédère des dispositifs et des professionnels du soin, de l’éducation, de la prévention, de l’accompagnement et de la réduction des risques.
L'hôpital Marmottan est une structure publique de soins permettant une prise en charge pour toxicomanes. Outre les services médicaux, Marmottan possède une centre de documentation dont le catalogue est visible depuis le site.
En plus des classiques addictions aux substances (alcool, tabac, drogues, médicaments...), on insiste aujourd'hui de plus en plus au développement des addictions sans drogue, appelées aussi addictions comportementales.
La Guilde vise à mutualiser l'expérience clinique des soignants prenant en charge des joueurs de jeux vidéo. Sa bibliographie renvoie au centre de documentation de l'Hôpital Marmottan.
Les objectifs de ce réseau sont d'informer et de sensibiliser les établissements de santé, sociaux et médico-sociaux pour prévenir les pratiques addictives et leurs complications. Il accompagne les établissements de santé dans l’organisation de la prise en charge de ces pratiques et promeut une dynamique de réseau. Il publie mensuellement La Lettre du Respadd, téléchargeable.